Formation Fleurs de Bach Niveau 3 : Les élixirs californiens
A partir des années 70, Richard Katz et Patricia Kaminski lancent les élixirs floraux de la Flower Essence Society (FES). Utilisant une démarche qui allie l’intuition et l’étude de la logique de croissance de la plante, ils mettent au point progressivement plus de cent portraits psychologiques précis et fiables testés et vérifiés dans un vaste réseau de thérapeutes.
Ouverture mais sans « new age »
Alors que depuis 1936 la florathérapie se cantonnait aux 38 unitaires mis au point par Edward Bach, l’arrivée de Katz et Kaminski renouvelle le genre, sans pour autant céder au piège du « new age ». En effet si les producteurs et descripteurs de « nouveaux élixirs » ont… fleuri, beaucoup ont fabriqué des pseudo-produits et des pseudo-descriptifs du type « harmonise le chakra du haut et le chakra du bas ». Ce qui en patientèle est… totalement inutilisable. La démarche FES au contraire livre des portraits et des problématiques extrêmement précis et totalement fiables. On peut dire qu’il y a eu « l’avant FES » (les 38 de Bach et rien d’autre) et « l’après FES ».
Des problématiques contemporaines, inconnues du Dr Bach
Décédé en 1936, Edward Bach était étranger au monde actuel. L’omniprésence des media et de la violence qu’ils véhiculent lui étaient totalement inconnues. Il ne pouvait pas imaginer la pollution mentale qu’elles génèrent, chez l’adulte mais aussi chez l’enfant, et les pathologies qui en résultent. De même pour les nouvelles addictions et l’accélération phénoménale du rythme de vie, la surcharge constante d’informations, la tendance au « multi-tâches » constant et l’usure nerveuse et l’instabilité constantes qu’ils créent. Au-delà de la nécessité de compléter les portraits psychologiques de base, ce que font les élixirs de la FES, sont aussi apparus de nouvelles problématiques « exogènes », qui n’appartiennent pas à la personne mais lui sont injectées par le monde actuel.